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georges
Artisans, commerces, professions libérales et entreprises

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METIERS COMMENTAIRES
CHAPELIERS ET MODISTESCes deux professions n’étaient pas les plus représentées mais existaient bel et bien malgré tout. Il y a seulement quelques dizaines d’années, pouvait-on imaginer se rendre à la messe ou faire une sortie sans chapeau ! En fait, quand on regarde des photos anciennes, on s’aperçoit que les messieurs portaient des chapeaux qui pouvaient être bien différents en fonction des circonstances et des modes
CHARCUTIERSEntre autres métiers liés à l’alimentation, et complétant en quelque sorte celui de boucher, il y avait le charcutier. Les charcutiers étaient moins nombreux que les bouchers car ils travaillaient essentiellement le porc, et dans son intégralité, ce qui faisait dire que dans le cochon, tout est bon, de la tête à la queue en passant par les abats. D’ailleurs le mot charcutier vient du mot très ancien « chair-cuitier ou chaircuitier » qui signifie celui qui prépare et cuit la « chair » pour la vendre car le mot viande à l’époque n’existait pas.
CHARPENTIERS COUVREURSLe besoin de se confectionner un toit pour se protéger des intempéries ne date pas d’hier et le métier de couvreur non plus, bien sûr, même si les premiers matériaux utilisés n’avaient rien à voir avec ceux d’aujourd’hui. C’est donc un métier traditionnel appartenant au secteur du bâtiment qui se définit comme suit : professionnel qui pose sur les toits un revêtement étanche constituant la couverture, qui l’entretient et la répare mais qui peut poser aussi le support de ce toit, ce qui explique qu’il soit en règle générale désigné sous l’appellation de Charpentier-couvreur. Les matériaux utilisés sont divers : tuiles, ardoises, zinc, tôles, bardeaux bitumés shingle ou bois etc.
CHARRONSLe charron était un artisan du fer et du bois que l’on appelait parfois embardeur de roues. Ce métier si présent autrefois est passé de son heure de gloire à celle de dépanneur et réparateur, comme pour bon nombre d’autres artisans.
CHIFONS ET PEAUX DE LAPINSAu nombre des vieux métiers exercés à Saint-Hilaire comme ailleurs, il faut citer le « chiffonnier ». On l’appelait souvent « le père la pouche ». Son origine est bien lointaine, mais il était assez répandu au XIXe siècle notamment grâce au développement de l’industrie du papier. Ce métier a disparu dans les années 60 avec l’apparition de la grande distribution et le ramassage des ordures ménagères.
CIRIERS CERGIERSLa définition : celui qui fait ou vend des cierges, mais aussi des chandelles et bougies, tout ce qui était nécessaire à la piété mais aussi à l’éclairage avant l’électricité. C’est dire que la fabrication était importante. Peu à peu, l’éclairage électrique a supplanté la bougie et la lampe à pétrole et au fil des années, la fabrication est devenue purement religieuse avec les cierges d’autel et de communion dont la taille était variable car plus le cierge était gros, plus la famille était aisée. C’est M. Emile Mauray fils (ayant un lien de parenté avec M. Mauray, fabricant de boutons de nacre) qui a été le dernier cirier de la commune
COMPTABLESDéjà depuis longtemps, on a eu besoin de recourir aux services de celui que l’on appelait tout simplement le comptable. C’était vrai pour les artisans, les commerçants, les petites entreprises qui, souvent, n’avaient ni le temps, ni les capacités requises, et ce, bien que les choses soient plus simples qu’aujourd’hui. On ne parlait ni d’audit, ni de logiciel, pas non plus de TVA ou d’amortissements, dans la mesure où le matériel (avant l’électricité) était restreint et les devantures bien modestes, le pignon sur rue n’était pas celui d’aujourd’hui. Avec le temps, la comptabilité et la gestion d’une entreprise ont beaucoup évolué. On dit d’ailleurs que c’est le secteur qui a le plus évolué au fil des siècles et qui est désormais impacté par les dispositions sociales et fiscales, les exigences économiques grandissantes et les avancées technologiques et numériques. Pour ces différentes raisons, les cabinets d’experts-comptables se sont multipliés et notamment à Saint-Hilaire, en centre-ville
CORDIERSDans le métier que je professe, on n’avance qu’en reculant.Je suis …le cordier Ce métier n’est pas le plus représenté à Saint-Hilaire, cependant, dans nos contrées rurales, et depuis très longtemps, son travail était nécessaire aux agriculteurs qui utilisaient un grand nombre de ses réalisations telles que : longes, liures, ficelles à botteler, ficelles à fouets, colliers à veau, empêtres à moutons, licous etc. Mais il approvisionnait aussi les maçons (fils à plomb) les entreprises (pour ficeler les colis avant de les expédier) de même que ses cordes équipaient les balançoires et servaient à suspendre les cloches, et là, elles devaient être bien solides ! Les cordiers à Saint-Hilaire : C’est tout d’abord, M. Emile Foucault qui est répertorié en 1904 rue de Mortain. Son fils Georges lui succèdera en 1922 et cessera son activité en 1939. C’est ensuite, M. Leroy, artisan cordier dans la rue d’Avranches, et jusqu’en 1980
CORDONNIERSC’est sous le règne de Henri II que les chaussures commencèrent à prendre la forme du pied. Peu à peu, le cordonnier a remplacé le sabotier. Depuis 1945 trois membres de la famille Lecourt ont exercé ce métier à Saint-Hilaire, aujourd’hui encore l’atelier est tenu par David
COUVREURS EN PAILLEPeu de maisons, sauf en Haute-Normandie toutefois, sont couvertes en chaumes. Pourtant, il fût un temps où dans les campagnes, ce style de couverture était répandu car la matière première était gratuite. On utilisait en effet de la paille longue de seigle récoltée sur place que l’on appelait le glui. Autre avantage, ce matériau s’avérait être un bon isolant.
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