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METIERS
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COMMENTAIRES
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| EBENISTES | Celui-ci porte ce nom à cause des bois exotiques qui étaient employés pour la confection des meubles et qui étaient généralement désignés sous le nom d’Ebène. Il utilisait toutes sortes d’outils de traçage, de corroyage, de façonnage, de sculpture, d’assemblage et de finition. De chaque atelier d’artisan émanait une ou des odeurs bien particulières. Chez l’ébéniste, c’est celle de la cire et de la colle qui titillait les narines, ajoutée à celle du bois.
Par contre, cet artisan, en fonction des pièces de mobiliers réalisées pouvait être un véritable artiste quand il s’agissait de travailler un style particulier avec plus ou moins de moulures et de sculptures
| | ELECTRICIENS | A l’exposition universelle de 1900 qui se tenait à Paris, la grande attraction était le palais de la fée Electricité dédié aux nombreuses inventions et innovations qui lui étaient liées. On entrait dans l’ère de la modernité mais ce n’était qu’un début et les décennies qui suivront révolutionneront le monde industriel mais aussi la vie quotidienne de tout un chacun.
C’est aussi un nouveau métier qui fait son apparition, celui d’électricien. Très vite, celui-ci deviendra indispensable dans le domaine du bâtiment, pour l’éclairage tout d’abord, puis progressivement pour les installations de chauffage, climatisations les réseaux communications, vidéo surveillance, domotique, la sécurité.
| | ELECTROMENAGER TELEVISION | Ce secteur a été florissant et s’il en est un qui peut le confirmer, c’est M. Pierre Durand, lui qui a fait partie des vingt glorieuses, entendez la période allant des années 50 aux années 70, qui a vu naître une nouvelle société de consommation alliant le renouveau de l’après-guerre et la mise sur le marché de nouveaux appareils électriques qui ont tellement soulagé les tâches quotidiennes des femmes : les aspirateurs, les réfrigérateurs, les congélateurs, les cuisinières mais aussi et surtout les machines à laver le linge puis après les machines à laver la vaisselle. | | EPICIERS | S’il était un métier omniprésent dans le paysage urbain, et pendant très longtemps, c’était bien celui-là. On en comptait plusieurs dans chaque quartier. C’étaient, comme on le dit à présent, des commerces de proximité où l’on trouvait tous les produits alimentaires de première nécessité, et accessoirement de la droguerie, de la mercerie, de la poterie.
Epicier : Ce nom provient de l’époque très ancienne où il vendait essentiellement des épices auxquels ont été adjoints rapidement des produits secs et frais stockés en boîtes ou bocaux bien alignés sur des étagères en bois. Les boutiques parfois petites ne permettaient pas d’avoir un stock important, tout était renouvelé régulièrement.
| | ESTHETICIENNES | C’est en 1958 à Montréal qu’est ouverte la première école d’esthétique, et en 1963 qu’est créé en France, le CAP Esthétique. Avant, il n’y avait pas de transmission officielle. Les techniques de soins et de maquillages étaient enseignées par chaque marque de cosmétiques.
C’est un domaine essentiellement féminin car effectué par des femmes sur des femmes, à quelques exceptions près.
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