|
METIERS
|
COMMENTAIRES
|
| SABOTIERS | Ce métier, fort répandu autrefois nécessitait de la maîtrise et du savoir-faire puisqu’il partait de morceaux de bois bruts qu’il fallait travailler avec doigté pour arriver à la forme finale du sabot.
Du fait du port quotidien des sabots pour les travaux agricoles, ils étaient légion à Saint-Hilaire. En ville on portait aussi des galoches ou des sacotins.
Nous pensons que l’un des derniers sabotiers était Prosper Desfoux | | SALONS DE COIFFURE | Cette profession est rattachée au domaine de la beauté car nous souhaitons plaire mais aussi se plaire, surtout à notre époque où l’on essaie de repousser le plus possible les désagréments liés à la vieillesse. C’est vrai pour les dames, mais aussi pour les messieurs et cela devient parfois tout un art qui peut prendre du temps, ce qui fait que le coiffeur est souvent le confident privilégié des bonheurs et des malheurs de sa clientèle.
Le métier de coiffeur proprement dit est apparu au 17e siècle et c’est en 1873 que fût créée la Chambre syndicale patronale des coiffeurs de Paris. Plus près de nous, c’est en 1931 qu’a été institué le certificat d’aptitude professionnelle (CAP) puis le brevet professionnel en 1935. C’est une loi du 23 mai 1946 qui a réglementé la profession de la coiffure qui stipule que nul ne peut exercer cette activité à son propre compte s’il n’est titulaire du brevet professionnel ou du brevet de maîtrise.
| | SERRURIERS | Ce métier tenait une grande place, car depuis des temps reculés, la nécessité de protéger ses biens s’est fait sentir qu’il s’agisse de l’habitation ou bien des coffres quand les seigneurs se déplaçaient de château en château. Les principaux serruriers d’après-guerre à Saint-Hilaire sont : Robert Morel, Roger Lecomte et Morel Gaignon |
| Vous êtes le |    ème | | à visiter cette page |
|
|
>
